| Sujet: TAYLOR WARREN ›› La moitié manquante. Lun 13 Avr 2020 - 14:40 | |
| Sasha X. X ft. Taylor Warren | carte d'identité Nom: au choix, du moment qu'il est russe prénom(s): Sasha X. (deuxième prénom au choix)Surnom(s): Comme vous voulez Age: écrire la réponse ici Date de naissance: Idem, sauf qu'elle 26 ansLieu de naissance: Ville au choix, en Russie. Origines: Russe Statut matrimonial: célibataire Orientation sexuelle: hétéroEtude/métier: Groupe: D'abord prostituée, puis bras droit d'Aram
un peu + sur le personnage T’es pas née sous une bonne étoile, c’est certain, t’as pas eut la chance de naître avec une cuillère en argent dans la bouche comme moi et pourtant on a finit par se connaître. C’est pas une rencontre comme on les voit dans les films mais avant de la raconter, faut peut-être parler un peu de toi.
Tu es née en Russie, d’une maman très pauvre dont le mari est mort et qu’elle a remplacé par un beau-père dérangé et violent. Le problème dans ce pays c’est que pour avoir de la nourriture à mettre sur la table, il faut avoir quelqu’un qui travaille et en l’occurence c’est lui. Payer le prix de la chair c’est pas grand chose aux yeux de ta mère pour continuer à survivre et pour améliorer son style de vie. Le problème c’est que ta très chère maman ne lui suffit pas, il te veux toi aussi, et il t’a eut. C’est pas romantique oh non, c’est même très violent et quand tu as voulu aller te confier auprès de ta maman, elle a préféré rester aveugle à la vérité et faire une croix sur son propre sang, quant à ton bourreau il t’a donné une bonne correction que t’as pas oublié.
Tu t’es retrouvée comme beaucoup de tes semblables à faire le trottoir pour des mecs pas très recommandables. Prise dans une tempête de violence et de sexe, t’as préféré couler pendant un bon moment pour pouvoir ressortir la tête de l’eau plus forte. Le peu de fric que tu as réussi à te faire tu l’as passé dans un billet pour le pays de la liberté : l’Amérique. Le rêve américain ils disaient, pourquoi toi t’y aurais pas le droit ? T’es partie pour une nouvelle vie, un nouveau départ, t’y croyais vraiment fort et tu t’es perchée sur ton petit nuage sauf que lorsque t’es arrivée, ta malchance t’as mis un bon coup et t’as fait chuté de ton nuage d’espoirs.
T’as cru pouvoir te réinventer dans un endroit où personne te connait mais t’es retombée dans ton premier métier, à croire que t’aimes te faire souffrir, t’as pas pu t’empêcher de recommencer encore et encore à te faire dominer par des hommes prêts à faire voler les billets en l’air pour quelques heures avec toi. Le seul moment où t’as eut un peu de chance dans ta chienne de vie c’est quand j’ai accepté de t’embaucher. Le bouche à oreille est fort dans les grandes villes et quand t’as entendu que dans ce réseau là les filles sont protégées, t’y as cru naïvement. Tu t’es présentée à moi sans vraiment savoir comment on fait pour se vendre et t’as juste été la plus sincère du monde : Tu savais que faire ça.
Tu t’es lancée corps et âme dans ce nouveau réseau, de toute façon tu ne sais faire autrement. T’es toujours persuadée que tu peux être libre mais tu t’es résignée à accepter que c’est une liberté sous conditions. Et elles sont simples : faire correctement son boulot, ne pas me faire chier. On se croise très souvent au début, je suis toujours l’intermédiaire entre les anciennes et les nouvelles, je connais la nature jalouse des femmes entre elles et aide toujours mes nouvelles à s’intégrer. N’y voyez pas un élan de gentillesse, mais si elles travaillent défigurées, c’est pas bon pour les affaires.
Plusieurs fois j’ai décelé ce feu puissant que tu as au fond de tes prunelles : t’es pleine de colère, tu ravales depuis trop longtemps ta fierté et t’es profondément dégoutée de ce que la vie t’a fait subir. Parfois tu la hais vraiment, la vie. Tu sais que tu peux mieux faire qu’écarter les jambes et même si t’as toujours au fond de toi la fierté de savoir que tu tiens ces pauvres âmes qui viennent dépenser des centaines de dollars en femme, tu sais que tu peux faire plus, beaucoup plus. C’est ce jour que tu te fais cette promesse à toi même, celle de t’élever de nouveau assez haut pour retourner sur ton petit nuage.
Au lieu de t’éloigner de ton métier, tu t’y es jetée corps et âme avec la plus grande des volontés. Tu t’es finalement liée d’amitié avec les autres filles car dans ce métier là, il faut savoir se supporter entre vous, t’as même envie toi aussi d’aller frapper les mecs qui en abusent un peu trop, t’as compris que c’est vous qui menez la barque et pas eux. Mieux que ça tu proposes à tes supérieures de nouvelles idées brillantes pour améliorer encore plus le réseau et c’est quand tu assures que tu as encore de nombreux contacts en Russie et que tu peux ramener sans trop de frais de nouvelles filles que tu te retrouves nez à nez avec moi. Oh, ce n’est pas la première bonne idée de ta part dont j’entends parler mais il est juste temps pour moi de te récompenser à ma manière. Le soir même tu n’es plus dans ces endroits luxueux à attendre un malheureux en manque de chaleur humaine, tu es chez moi, un verre de grand cru à la main à développer toutes tes idées brillantes en vue de l’expansion du réseau.
Un an plus tard, t’es toujours là et cette fois-ci t’es bien décidée à pas tomber de nouveau. T’es devenue rapidement mon bras droit et c’est pas seulement parce que t’as de bonnes idées que tu l’es. Ce que je sais aussi de toi c’est qu’afin de garder ton rêve bien réel t’as mis de côté tout ce que tu peux ressentir quand t’es avec moi. T’as toujours ton coeur qui loupe un battement quand je rentre dans la pièce où t’es, t’as mis du temps à comprendre pourquoi tu détournes sans cesse les yeux quand je te regarde trop fixement, ou pourquoi t’as envie d’étriper les nouvelles qui tentent toujours de me faire du rentre-dedans à peine arrivées, briguant la place si convoitée de femme du patron. T’es toujours soulagée de voir que je les dégage froidement en leur intimant d’exercer plutôt leurs charmes sur nos clients qui paient pour ça. Une grande inspiration et tu te remets à me regarder de nouveau et me parler comme si de rien n’était et t’as jamais remarqué que quand t’as le regard tourné, c’est moi qui te reluque avec convoitise.
Les réunions de travail se passent le plus souvent chez moi, une bouteille de vin rouge à un prix exorbitant débouchée que l’on boit toujours par terre tant la montagne de papier est telle que la table basse de mon salon est bien trop petite pour l’accueillir. On travaille souvent des heures durant, jusqu’au jour où après des heures de dur labeur t’as pris tous les documents et tu les as envoyés en l’air en criant qu’il te faut une pause avant d’éclater de rire. C’est la première fois qu’on a arrêté de parler boulot et qu’on s’est mis à parler tout simplement, de toi principalement et de ton passé de merde que t’as jamais réussi à exorciser. Il m’a fallut presque deux bouteilles de vin pour te pousser à cracher le morceau. T’as raconté l’histoire la plus dégradante du monde avec toute la dignité d’une reine, seuls tes yeux légèrement brillants trahissent toute la douleur que tu as pu ressentir et toute la fierté que tu as de t’en être tirée, finalement. T’as remarqué que je fais exprès de te poser pleins de questions pour que tu n’aies jamais l’occasion de pouvoir le faire toi aussi, tu te doutes bien que moi aussi il m’est arrivé des choses. Pas parce que derrière chaque gosse de riche il doit il y avoir une histoire triste mais juste parce que tu le ressens et t’as bien remarqué que je suis toujours seul. T’as eu la décence de comprendre mes manigances et tu n’as rien demandé, pour finir par t’endormir ensuite sur mon canapé.
Dans un monde parfait tout aurait pu continuer comme ça sauf que quand il s’agit de relations humaines toi et moi on est plutôt doués à tout faire foirer. On est devenus proches, par le travail mais aussi un peu plus personnellement et pourtant tu n’en profites pas du tout pour essayer d’avoir des faveurs, t’es juste contente d’avoir eut quelqu’un pour t’écouter et s’occuper de toi, toi qui as pas eut de père. Autre ton intelligence j’aime aussi ton humour sarcastique et même pervers parfois, t’es franche et directe, sans filtre, tu balances tes phrases en sachant que c’est pas moi qui vais être choqué. On s’engueule même parfois parce que t’es aussi têtue que moi mais t’as toujours tendance à te recroqueviller sur toi-même quand je me mets à crier trop fort ou à frapper du poing sur le bureau et ça a le don de me calmer à chaque fois. Toi je veux pas que t’aies peur de moi, je veux que tu te sentes en sécurité, uniquement avec moi. Dans un monde parfait on aurait rien fait foirer comme on a fait foiré ce soir-là mais je l’avoue j’ai foiré en premier.
Je suis qu’un mec après tout, même si je suis celui qui doit avoir un taux de résistance aux avances de femmes le plus élevé. Je suis habitué à pleins de choses maintenant ! Avec toutes les fois où t’es restée dormir parce qu’on bossait trop tard et que t’as fini avec une chemise à moi en guise de pyjama, je devrais être immunisé à tes jambes qui se dandinent devant mes yeux. A tes courbes que je devine parfaitement sous le tissus que j’ai parfois une envie violente de t’arracher, à ta petite frimousse que tu prends quand t’es fatiguée, à ta manière de te mordre la lèvre sans même te rendre compte que serre les dents à chaque fois pour éviter de t’agresser. Je suis pas parfait mais et après une énième provocation innocente, alors que t’essaies d’attraper un verre trop en hauteur et que ma chemise n’est plus capable de cacher plus longtemps le haut de tes jambes, je finis par craquer et me jeter sur toi, te retournant brusquement à moi pour voler tes lèvres dans un baiser furieux. T’as rien fait, mise à part répondre d’une manière sauvage, passionnée. Tout ça aurait pu continuer si à ton tour, tu t’étais pas foiré non plus. A moitié à poil tous les deux, t’as mis tes mains sur mon dos abîmé. T’aurais pu te taire mais non, t’as été surprise par les cicatrices que t’as senti et t’as pas pu t’empêcher. « Aram ? » C’est rien mais j’ai compris déjà ce que tu veux : des explications. Tu veux toi aussi connaître mes démons. « La ferme, tu vas me faire débander. » Une seconde chance, tu peux encore te sauver. « Putain, Aram, c’est quoi ça ? » T’as rien lâché, t’as été coupable de tout ce qui allait arriver. « Allez dégage, Sasha ». En une seconde je retrouve toute ma clarté d’esprit et je m’éloigne d’un bon mètre déjà. Je suis déjà en train de me remettre ma chemise et tu dois du comprendre que c’est fini, mais c’est à croire que ton cerveau est aux abonnés absents ce soir là. T’as agrippé la chemise que tu veux me retirer pour exposer de nouveau les marques dans mon dos. Grave erreur. Moi j’ai déjà les poings qui se serrent, mauvais signe. « Aram tu peux me le dire, toi tu sais tout sur moi.» Deux petites secondes plus tard et t’es de nouveau contre le mur mais cette fois-ci avec ma main autour de ta gorge. « Ta gueule Sasha ! Tu te prends pour qui ? T’es personne ! Pauvre conne. » Je te relâche brusquement -trop brusquement- et tu finis par terre, la trace de ma main encore autour de ton coup. « Dégage…. Maintenant !» C’est plus un conseil qu’un ordre en vrai, et c’est que là que ton cerveau s’est réveillé. T’as pigé que t’as tout foutu en l’air, que le peu d’intimité que t’as si durement gagné sans arrière pensée a disparu. Pourtant t’as pas pleuré, t’es bien plus forte que ça. Tu t’es rhabillée et t’es partie en claquant la porte, furieuse.
Tu t’en veux Sasha mais ce que tu ne sais pas, c’est que moi aussi je m’en veux, parce que putain que l’appartement est vide d’un coup. Je sais pas ce que t’as foutu, mais t’as mis un beau bordel en moi. Dommage que ton cerveau ait bugué, parce que dès le lendemain, t’as bien vu que j’ai remis un mur entre nous, comme au début. T’as remarqué que je ne veux même plus te regarder et que quand tu me fais tes rapports, je redeviens une statue de marbre quand je te fixe. Et tu sais aussi que tu vas bien avoir du mal à tout récupérer. Mais rassure-toi : J’ai foiré en premier et j’ai perdu aussi.
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Ses différents liens | | Aram C. Abayan ➨ Plus qu'un patron il est devenu un point de repère. Plus qu'une simple femme elle est devenue son seul appui, son seul véritable lien. Même si à présent il l'évite comme la peste et même si il tente de ne pas se laisser atteindre, elle a réveillé quelque chose en lui : le besoin de ne pas être constamment seul avec soi-même.
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| Les exigences de l'auteur Coucou à toi qui regarde ce scénario ! Il me tient énormément à coeur et je tiens absolument à trouver une personne pour le prendre Il y a quelques points sur lesquels je vais revenir, mais généralement je suis pas chiante L'avatar : Taylor Warren est sublime, elle correspond très bien à ce perso à mon avis mais si vous n'avez pas le coup de coeur j'aime aussi Odette Annable ou Barbara Palvin, ou même l'un de vos choix que vous pouvez mes proposer du moment qu'elle est brune aux yeux bleus. La présence : Au mieux, quelqu'un d'actif, qui se connecte tous les jours et peut répondre assez rapidement. Perso je réponds parfois du tac au tac aux sujets les plus prenants, ce serait cool de trouver quelqu'un aussi fou que moi Je comprends que tout le monde ne passe pas sa vie sur l'ordi évidemment, alors je n'impose pas que quelqu'un rp chaque jour, par contre je n'aime pas attendre une semaine pour une réponse, je trouve que c'est un peu trop long ! L'histoire : Elle est LONGUE, certes, mais importante pour comprendre le perso. Il y a certes peu de choses de changeable mais je suis pas un monstre, si quelque chose vous bloque, venez m'en parler directement et on regarde ça ensemble Lien : J'ai du mal à imaginer que leur lien ne soit qu'une passage, au contraire, j'imagine plutôt deux âmes soeurs qui se complètent. Avec beaucoup de temps . Ce n'est pas un lien qui se fera du jour au lendemain, il y aura des drames, des belles choses, des horreurs, des disputes, des trahisons etc... Mais c'est ça qui est drôle ! Il faut savoir que Aram n'est pas un tendre, qu'il est violent, manipulateur et dominateur mais, si l'on comprend bien le perso on comprend également qu'il est facilement amadoué si on sait s'y prendre avec lui. Sasha serait donc la parfaite Ta petite personne : Déjà si tu prends mon scénario, tu es mon bébé d'amour Ma priorité, mon soleil, mon.... Plus sérieusement, tu ne seras jamais abandonnée ! Les gens sur ce forum sont très accueillants, et je serais là pour t'aider de mon mieux. Que ce soit par MP, Skype ou Discord, je suis à 100% là pour répondre à tes questions, t'accueillir et t'offrir une montagne de chocolat |
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