Je suis née à New-York , le vingt décembre 1994. Mon père était avocat, ma mère auxiliaire de vie. Elle aimais beaucoup sont travail, tout comme mon père d’ailleurs. Ils n’étais pas riche, mais gagner bien leur vie. Je suis fille unique, qui dit fille unique dit enfant pourrie gâté, j’avais tout ce que je voulais. Mon père céder à tout mes caprices. Ma mère, j’étais la prunelle de ses yeux, une vraie protectrice. Mes parents étaient seuls à New York, ils n’avaient pas de famille, elles habitent loin d’eux. Pour les vacances ont allais leurs rendres visite, je n’aimais pas la famille à mon père, trop de haines en eux surtout en vraie ma mère. Ils ne s’aiment pas vraiment, pourquoi ? Je ne c’est pas vraiment.

Petite fille modèle à l’école, au collège pareil. Je ramène des bonnes notes à la maison. Papa et maman était très fière de moi, j’étais une fille droite, respectueuse, à l’écoute comme aujourd’hui d’ailleurs. Plus je grandissais, plus je voyez la santé de ma mère ce dégradé. Vous connaissez tous la maladie du siècle ? Le cancer, ce putain de cancer qui lui a hôte la vie il y a maintenant trois ans. Mon père ? Il ses noyez dans l’alcool après la mort de maman, la femme de sa vie, sont premier amour du lycée. Je n’ai pas eu le temps de dire à ma mère, qu’elle allais être grand-mère. J’étais enceinte, de mon premier amour de lycée moi aussi. On s’entendait super bien, maman l’a connue aussi. Il est rester à mes coter jusqu’à sont dernier souffle.

Au fil du temps, mon père a lui aussi rendu l’âme. Chagrin d’amour, il ne pouvais plu reste sans la ferme de sa vie. Je me suis retrouvé seule, enceinte, sans parents. Juste mon copain a mes coter, il m’a aider à remonté la pente, bien que c’était tellement dur pour moi, même au jour d’aujourd’hui. Mes parents c’était ma vie entier, je n’avais que mes yeux pour eux. Maintenant , je n’ai que mes yeux pour pleurer.

Les année sont passées, j’ai récupéré la maison de mes parents, mon ventre grossissent de jours en jours. Je porte en moi mon sang, mon fils, l’homme de ma vie. Je m’accroche à lui, comme ci c’était le dernier jour. J’ai appris aussi, que j’avais un cancer moi aussi, du choc de la perte de mes parents. J’ai dû l’annonce à mon copain, qui lui après cette mauvaise annonce a prit la fuite. Je n’avais aucun réaction, peut t’être c’était mieux ainsi.

J’ai accoucher toute seule, mon fils était sur le point de montre le bout de sont nez. Quand j’ai entendu les pleurs de mon fils, j’ai su qu’il était déjà toute ma vie, qu’il allais me redonner la joie de vivre, que j’allais revivre une nouvelle vie avec lui. Les premiers temps, c’était tellement dur toute seule , mais après je me suis vite habitué et j’ai élevé mon garçon. Je n’avais plu mon cancer, du moins il me manque une ou deux chimio à faire.

J’ai trouver sur une annonce, pour travailler dans une crèche à San Diego, je n’ai pas perdu de temps. J’ai pris mon fils de trois ans aujourd’hui, mes bagages et nous voilà dans cet magnifique ville.